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Ici sont
réunis les huit chapitres d’un dialogue « sur la photographie », poursuivi
pendant une petite année, sur 2008 et 2009, entre Francis Esquier (*) et moi-même.
Sommaire
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(*) Francis Esquier, par sa pratique de l’écriture,
sait que le discours est la meilleure et la
pire des choses.
Par sa pratique de la peinture pendant deux
décennies,
il détient une expérience personnelle de
l’invention plastique.
Par l’infirmité de sa pratique religieuse,
il capte mal les courants qui irriguent le
cosmos ou le genre humain.
Par sa longue pratique de l’enseignement,
il est rompu à la maïeutique socratique.
Par sa pratique assidue de la culture
physique,
il s’efforce d’entretenir maison et jardin.
Par sa totale ignorance de la pratique
musicale, Francis Esquier ne pressent même pas ce qui lui fait défaut sous cet
angle de vue.
Par sa tardive pratique de la recherche
universitaire,
il s’est formé quelques idées sur
l’esthétique.
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