lundi 3 juillet 2017

DAVID HOCKNEY A BEAUBOURG

Lundi 3 juillet 2017

Au cours de ces cinq derniers jours : deux visites de l'exposition rétrospective consacrée au peintre David Hockney.

Je n'ai rien à dire sur son oeuvre, qui n'a pas déjà été dit ailleurs, je présume. Mais j'ai déjà, en tout, passé sept heures à sa rencontre, dans cette exposition-là. C'est dire que je ne m'y ennuie pas.

Il se trouve aussi que "les photographies sont interdites", dans cette exposition-là.
Il faut savoir que, en principe, il suffit que cette interdiction imbécile soit demandée par des prêteurs des œuvres, et qu'elle n'est pas le fait de l'institution qui les héberge temporairement. 

Mais peu importe ici le degré d'intelligence convoquée à l'occasion de cette interdiction. Je remarque juste qu'elle donne lieu à des petites scènes, plus ou moins divertissantes, entre les visiteurs qui tentent de ruser avec cette interdiction, et les agents de surveillance, contraints de leur demander, fastidieusement, de la respecter.

Tous ceux qui ont pratiqué Beaubourg savent que, depuis l'intérieur du bâtiment, en certains endroits privilégiés, on peut y bénéficier de vues sur Paris tout à fait intéressantes.
Alors, certains des visiteurs, frustrés de ne pouvoir librement s'approprier un souvenir de leur présence devant les œuvres exposées, se vengent en dirigeant leurs objectifs vers le paysage extérieur.
L'agent de surveillance affecté au secteur lève un œil soupçonneux...




...

Mais personne n'a encore pensé à réglementer la prise de vues des toits de Paris. 







Et puis, dans une station de métro desservant le Centre Georges Pompidou, il y avait, comme il s'en trouve souvent dans les lieux en chantier, un arrangement mural impromptu, et assez pictural à mon goût...





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