lundi 7 octobre 2019

JOURNAL DE L'ARBRE



musique : KITUSAI
graphisme : PG


Les « moments » de ce JOURNAL DE L’ARBRE, tels que décrits par Kitusai :


Aube : 
0’07 : Blow up   (« Ça grouille sous la terre »)  / 
1’30 :  Arbres saxs (« On bourgeonne et on déplie »)
Matinée : 
2’40 : Island toys  (« Après pierre-fendre, voici les premiers rayons de soleil) / 
3’30 : Cold stones (« A l'assaut du ciel »)
Midi : 
5’22: Noon shadow (« Soleil à l'aplomb ») /  
7’19 : Smoky pray (« Il fait beau et chaud, déployons nos branches »)
 
Après-midi : 
8’48 : Arbres forains  (« C'est la fête aux oiseaux ») / 
9’49 : Gouttes (« Nos feuilles avaient soif »)
Crépuscule : 
11’42 : Atrium  (« Soleil couchant ») / 
14’05 : Chic ville (« A toi de t'éveiller petit peuple de la nuit ! »)
Nuit : 
15’15 : Samsara  (« Des magiciens dansent à nos pieds »)/ 
17’12 : Coming over the bridge (« Nous ondulons sous les étoiles filantes »)




https://www.youtube.com/watch?v=sd7sQnu5SnA

vendredi 4 octobre 2019

jeudi 8 août 2019

laster arte



irekiera


intimista


ingurabideko


tenplu hormak
 

eraldaketa


ola tuak


aztarnak


irribare urdina


gozamen gorria



atsedenaldi bat


zure osasuna !



mardi 25 juin 2019

UN DÉCOR POUR L’ENVERS


Cette image a été proposée lors de la « saison 32 des Compositions Inspirées »
sur le site Audiofanzine :







Ma « réaction fondamentale » à cette image s’est d’abord trouvée ainsi formalisée :
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Un Décor pour l’Envers

Pourquoi veux-tu aller si loin ?
C’est partout que du papier peint, 
Palmiers en kit, azur en plastique -
Et laisse tomber les moustiques !

Avec mimi en bikini
Et d’la bibine pour bibi,
Fait toujours beau sur la photo.
Normal : c’est tout pour la promo !

Mais qui te paye ta tite ristourne ?
Comment crois-tu que tout ça tourne ?
Toute cette tambouille en toc,
C’est juste au prix du coke en stock ! (*)

Plongé si vite tout heureux
De cet autre côté du monde…
À plonger dans ce trop de bleu
Oublies-tu que la terre est ronde ?
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Ensuite, plus ou moins informée par une écoute d’un certain concerto de VIVALDI, une musique a été composée, avec l'amicale collaboration de DOC STICKO pour la diction du texte, et de THOMAS LN77 pour le rendu sonore définitif d’une grande partie de la bande son :


Après cela, et comme souvent, ce qui chez moi vient d’une « image » veut retourner à l’image, et, en intercalant quelques ‘cartes postales’ dans des images personnelles, une espèce de ‘clip’ a été monté, publié ici :


(*) Pour information, dans le vers « C’est juste au prix du coke en stock !  », il s’agit bien « du » coke (le charbon) et non pas « de la » coke (la drogue), et le sens de la formule, ici, est tel que donné dans l’album d’Hergé, ’Coke en stock’.

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Je ne suis pas sûr que soit considéré comme un ‘bonus’ la publication de cette dernière strophe supprimée au montage - pour grandiloquence excessive ?

Ici, retour au terminal :
Entre départs et arrivées,
Ce n’est vraiment jamais très long
Jamais plus loin, jamais si long
Qu’en prenant cet escalator
Du tout début jusqu’à sa fin
Jusqu’à la mort.  
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vendredi 7 juin 2019

Once upon a time


Il était une fois - un jeune Prince, qui, parce que le plus jeune des fils du Roi, ne pouvait être son héritier.
Il devait donc partir à l'aventure y tenter sa chance, s'il voulait un Royaume qui ne soit qu'à lui.
Et ainsi, après tant et tant de traversées de montagnes et d'océans, et diverses errances dans quelques déserts, il trouva une contrée encore inculte, mais dont son imagination et son labeur persévérant, espérait-il, pourrait faire un endroit où bon vivre, pour lui, et ceux qui l'avaient suivi.
Ainsi œuvra-t-il. 
Et, à la fin, considérant la cité, petite, mais belle et prospère (et écolo), qu'il avait édifiée, le jeune Prince (maintenant Roi en son Royaume) estimait qu'il n'avait pas de raison d'être mécontent de son oeuvre.

Bien entendu, comme tout ouvrage de l'homme (et/ou de la femme), la cité, sans doute assez longtemps après la disparition de son fondateur, serait abandonnée ? Elle allait être violemment conquise et incendiée par une horde barbare, ou bien serait-elle brutalement renversée par un tsunami, ou lentement réduite en poussière par les tempêtes ?
Peu importe. 

Et, passant par là plus tard, un vieux sage pourrait toujours dire que tout est vanité, et vanité des vanités.

De fait, être vaniteux de sa personne est toujours vain.
Mais, de son temps, le jeune Prince ne pensait pas à lui, en construisant sa cité : il ne pensait qu'à elle, et désirait seulement qu'elle devienne un lieu où il ferait bon de vivre - du moins, en son temps.
Ce qui n'est pas rien.

vendredi 24 mai 2019